Martinez, Elena

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Martinez, Elena

Citoyenne Canadienne d’origine espagnole, Elena a transité par la France pour y faire l’apprentissage du français. C’est à partir d’une jolie ville portuaire que débuta pour les siens, le plus mémorable des voyages : La grande traversée de l’océan atlantique à bord d’un transatlantique Hollandais, le Pacific Holland.
Elle avait à peine six ans lorsqu’après une quinzaine de jours mouvementés sur l’océan atlantique, elle foula pour la première fois le sol de cette contrée de toutes les possibilités : Le Canada. Toutefois, elle a toujours pris soin de nourrir ses racines hispaniques pour que jamais ne cesse de fleurir et de croître le terreau si fertile du multiculturalisme qui l’habite.
Conseillère en développement socioprofessionnel, intervenante social et accompagnatrice de personnes en fin de vie ainsi qu’auteure, elle est une grande passionnée de la vie, de la nature, de la beauté dans ses multiples facettes, tout autant, que de la complexité de l’âme humaine.
Une autre de ses grandes passions et ce, depuis son plus jeune âge demeure la poésie. Les mots et les sentiments qu’ils évoquent, les émotions qu’ils suscitent. En effet, les mots ont toujours exercés sur elle une véritable fascination tout en lui inspirant le plus profond des respects, je dirais même plus, ils lui auront sauvé la vie.

Genre(s) littéraire(s) : Conte, Essais, Haiku, Jeunesse, Nouvelle, Poésie, Récit, Roman
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  • Pont de traverse

    Chère Sonia,

    À ton prochain séjour en Ontario, il y a un lieu bucolique que j’aimerai te faire découvrir et qui semble figé dans le temps comme le miel dans ses rayons. Pas étonnant qu’il soit reconnu comme faisant partie du patrimoine de l’Unesco. À une heure à peine d’Ottawa, tu seras transporté de l’agitation de la ville au calme champêtre qui invite à la poésie et à la rêverie. Nous irons nous assoir sur le joli pont de traverse aménagé pour les piétons pour écrire quelques vers, tout en contemplant la chevelure des saules pleureurs faire des ricochets dans l’onde de la rivière Tay. Et qui sait, si nous avons de la chance nous verrons une maman canard et ses rejetons venir nous saluer.    Texte: Martinez, Elena

     

      

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  • C pour cirque

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